go-kajō-sono-ichi

Salut puis tenshin battō en hachiji-dachi

• Se mettre en garde en position musubidachi (genoux légèrement fléchis)
• En imaginant uchi-tachi ouvrant sa garde, monter en Tenso puis incliner la lame vers la droite  et couper kiri haraï de Jodan droit vers gedan gauche en avançant d’un demi-pas n°5 (arriver en fudō-dachi) ;
• Abaisser la garde et reculer de deux pas
• En imaginant uchi-tachi ouvrant sa garde, monter en Tenso puis incliner la lame vers la droite  et couper kiri haraï de Jodan droit vers gedan gauche en avançant d’un demi-pas n°5 (arriver en fudō-dachi) ;
• Continuer ainsi.

Pour finir, tenso/shoko/chiburi/notō.

Il est également possible de travailler cette technique à la manière du kihon (sans reculer à chaque fois).

Faire attention à baisser suffisamment les hanches (flexion des genoux) afin d’assurer une bonne prise de sol et donner puissance, ampleur et stabilité au déplacement (donc au waza) sur un seul pas (avec le moins possible de pas d’appel, voire aucun).

Salut puis tenshin battō (en cas d’ouverture de la pratique).

• Uchi tachi : ouvre en Tenso dans l’intention d’attaquer en daï-jodan kiri-haraï  sur un pas ;
• Shi-tachi : monte en Tenso puis incline la lame vers la droite  et coupe kiri haraï de Jodan droit vers gedan gauche (suivre la ligne du col de keiko-gi) en avançant d’un demi-pas n°5 (arrivée en fudō-dachi).
• Abaisser la garde et reculer de deux pas ;
• Même processus de l’autre côté puis continuer ainsi.

Pour finir (en cas de clôture de la pratique), tenso/shoko/chiburi/notō.

Faire attention à baisser suffisamment les hanches au départ (flexion des genoux) afin d’assurer une bonne prise de sol et donner puissance, ampleur et stabilité au déplacement (donc au waza) sur un seul pas (avec le moins possible de pas d’appel, voire aucun).